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La presse parle des Brozeur
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Libération (France)
« …de vrais ambianceurs pour qui les a vus en concert… »
Nord Éclair (Lille)
« …évidemment la foule guinche, pas moyen de faire autrement… à s’en faire éclater les tympans et flinguer les talons ; ça déménage ! »
Taktik (Marseille)
« …Ils n’hésitent pas à commencer leur fête sur le trottoir, pour un peu on se croirait dans une fête populaire… des groupes comme ça on en mangerait tous les jours. »
Le Soir (Bruxelles)
« …Fleurs, gadgets et couleurs pétaradantes envahissent le podium, Frères Brozeur obligent. Ils sont les rois de la guinguette gaudriolesque, chantent avec ardeur les plaisirs de la chair, la stupidité des beaufs chauffards et des fils à papa. Ca swingue… »
Best (France)
« …Pour la première fois les Francofolies s’arrêtaient dans la petite ville thermale de Spa… Stephan Eicher a fermé la marche derrière une ribambelle de petits groupes, belges parfois, qui ne demandent qu’à se faire entendre ; du bon avec Les Frères Brozeur (influences Satellites, Mano Negra) et puis du vraiment moins bon… (sic) »
Voir (Montréal, Québec)
« …vous risquez de passer une heure de réel plaisir à danser, rire et chanter. Rien de surprenant puisque à peu près toutes les influences de cette formation belge ont de quoi émoustiller les talons, de la java à la musette, en passant par le rock et la pop… »
Backstage (Belgique)
« …un enthousiasme sauvage de délire musical et textuel. Une version pervertie de Michel Fugain et Le Big Bazar… »
Travers (Belgique)
« …les inénarrables et d’ailleurs "inénarrés" Frères Brozeur, cocktail musical inventé par un barman dyslexique, une année bissextile… »
Rock This Town (Belgique)
« …délirant résultat d’une monstrueuse partouze entre Les VRP, Los Carayos, Les Garçons Bouchers et quelques autres parmi lesquels Les Bateliers de La Volga… ces belges-là ne respectent rien… »
Une Autre Chanson (Belgique)
« …Accolade au Dutronc dragueur des supermarchés, coup de chapeau à la pop-crunchy de Gruppo Sportivo, un zeste d’insouciance africaine et une pointe de Boby (Lapointe, bien sûr !) sans oublier le glamour popu façon Yvette-Gaultier-Horner… on ose tout, on se permet tout… Drôle, énorme, farfelu, sans le moindre complexe, tout cela pète de santé… »
Rock’N’Gaume (Belgique)
« …Un bon choix pour un bon moment de fête. A consommer sans modération. Par les oreilles seulement. »
La Nouvelle Gazette (Belgique)
« …On vous jure que ça fait du bien à entendre… surtout après s’être farci l’écoute de tous les disques précités (sic). Joyeux no hell et bonne fun damnée ! »
Libération (France)
« …A côté de morceaux purement festifs, d’autres non moins remuants égratignent tous azimuts, les média(s), le chômage ou l’autodéfense. Musicalement, ces frangins d’outre-Yser grappillent partout, musette, funk, tango, boogie, blues, jusqu’au slow qui colle… ils ne renient pas le laisser-aller balloche et l’esprit «musique-pègre» est ici bien vivant. »
Faites Passer (Belgique)
« …Un album qui vous fera oublier, en l’espace de 52 minutes, tout le stress et la monotonie de la vie quotidienne. »
Mofo (Belgique)
« …Une très agréable surprise, ce second album des Frères Brozeur. Parce que, l’air de rien, sous une pochette fleurie, ils livrent une quinzaine de chansons drôles, gouailleuses et supportées par de bons textes… »
